The Newsroom: Diffusion HBO
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Re: The Newsroom: Diffusion HBO
3x05
Waaw quel épisode!! Surement le meilleur de la série!
Pauvre Charlie, je n’en reviens pas..
Que d’émotion, on voit qu’on se dirige vers une fin mais à mon avis on risque d’être encore surpris par les événements..
Sloan est vraiment un super personnage, je sens qu’elle va me manquer (qu’est-ce qu’elle parle vite par contre lol)
Don dans l’émotion aussi cette fois, on voit que le personnage a fait du chemin.
Will qui a une conversation imaginée avec son père, c’était tellement bien trouvé !
Et Jim et Maggie, enfin !!
Ça a peut-être été un peu vite mais bon avec 6 épisodes, pas vraiment le choix non plus mais ça nous arrange bien
Waaw quel épisode!! Surement le meilleur de la série!
Pauvre Charlie, je n’en reviens pas..
Que d’émotion, on voit qu’on se dirige vers une fin mais à mon avis on risque d’être encore surpris par les événements..
Sloan est vraiment un super personnage, je sens qu’elle va me manquer (qu’est-ce qu’elle parle vite par contre lol)
Don dans l’émotion aussi cette fois, on voit que le personnage a fait du chemin.
Will qui a une conversation imaginée avec son père, c’était tellement bien trouvé !
Et Jim et Maggie, enfin !!
Ça a peut-être été un peu vite mais bon avec 6 épisodes, pas vraiment le choix non plus mais ça nous arrange bien
Re: The Newsroom: Diffusion HBO
J'essaye de pas te lire Moonflower, pas encore vu l'épisode 5
3.4
Dans cet épisode c'était intéressant de la voir la vision différente du journaliste entre Charlie et l'autre dont j'ai déjà oublié le nom.
Il y a plus d'intrigue qui sort du contexte de base durant cette saison, et la question jusqu'au ou peux aller un journaliste? Ou est ça limite est passionnant?
Beau mariage.
3.4
Dans cet épisode c'était intéressant de la voir la vision différente du journaliste entre Charlie et l'autre dont j'ai déjà oublié le nom.
Il y a plus d'intrigue qui sort du contexte de base durant cette saison, et la question jusqu'au ou peux aller un journaliste? Ou est ça limite est passionnant?
Beau mariage.
Invité- Invité
Re: The Newsroom: Diffusion HBO
Il était temps pour Maggie/Jim.
Sloan et Don sont des personnages que j'affectionne particulièrement, l'évolution du dernier est très bien.
Oui pas mal du tout la partie de Will avec son paternel.
Je l'ai vu venir l'effondrement de Charlie quand il est rentrer en plein choc dans la salle, mais la mort non, je pensais qu'il s'en sortirait:cry:
Grosse polémique aux usa sur la partie de Don, décidément les ricains aiment bien ça, la semaine dernière avec Reign, maintenant avec Newsroom.
Sloan et Don sont des personnages que j'affectionne particulièrement, l'évolution du dernier est très bien.
Oui pas mal du tout la partie de Will avec son paternel.
Je l'ai vu venir l'effondrement de Charlie quand il est rentrer en plein choc dans la salle, mais la mort non, je pensais qu'il s'en sortirait:cry:
Grosse polémique aux usa sur la partie de Don, décidément les ricains aiment bien ça, la semaine dernière avec Reign, maintenant avec Newsroom.
Invité- Invité
Re: The Newsroom: Diffusion HBO
Polémique sur le fait qu’il ne voulait pas que la jeune fille vienne témoigner ?
Re: The Newsroom: Diffusion HBO
Ce qui a choqué et que Don tentait de convaincre une étudiante de fermer son blog ou elle accuse sans preuves un homme de viol. Il y a même eu des soucis dans la salle des scénaristes.
http://www.google.de/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=4&cad=rja&uact=8&ved=0CEAQqQIwAw&url=http%3A%2F%2Fwww.huffingtonpost.fr%2F2014%2F12%2F09%2Fthe-newsroom-une-histoire-de-viol-dans-la-derniere-saison-fait-polemique_n_6293238.html&ei=PV-JVMHfK8WtU62ehNAI&usg=AFQjCNGRsr7d9Wb1zCjQo2pl6PhoYzFcWA
Pourtant j'ai trouver les dialogues intéressant avec les deux points de vue, personnellement ça m'a pas choquée même si ça donne à réfléchir et les américains devraient pas oubliés que ce n'est qu'une série. Au moins la série laisse pas indifférent, elle va laisser son emprunte, si c'est pas déjà fait.
http://www.google.de/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=4&cad=rja&uact=8&ved=0CEAQqQIwAw&url=http%3A%2F%2Fwww.huffingtonpost.fr%2F2014%2F12%2F09%2Fthe-newsroom-une-histoire-de-viol-dans-la-derniere-saison-fait-polemique_n_6293238.html&ei=PV-JVMHfK8WtU62ehNAI&usg=AFQjCNGRsr7d9Wb1zCjQo2pl6PhoYzFcWA
Pourtant j'ai trouver les dialogues intéressant avec les deux points de vue, personnellement ça m'a pas choquée même si ça donne à réfléchir et les américains devraient pas oubliés que ce n'est qu'une série. Au moins la série laisse pas indifférent, elle va laisser son emprunte, si c'est pas déjà fait.
Invité- Invité
Re: The Newsroom: Diffusion HBO
Oui j'ai aussi trouvé leur discussion intéressante, ça ne m'a pas choqué non plus, comme tu dis c'est une fiction.
C'est une série intelligente comparé à ce qu'on peut voir à la télé de nos jours donc je ne comprends pas les critiques non plus. Mais oui, au moins on se souviendra d'elle
C'est une série intelligente comparé à ce qu'on peut voir à la télé de nos jours donc je ne comprends pas les critiques non plus. Mais oui, au moins on se souviendra d'elle
Re: The Newsroom: Diffusion HBO
Je crois que les américains n'aiment pas quand on leur donne l'opportunité de réfléchir et penser par eux même, sans généralisé bien évidemment.
Et ça m'étonnerais pas qu'au fond ça soit une des raison pour laquelle la série n'aura que trois saisons.
Et ça m'étonnerais pas qu'au fond ça soit une des raison pour laquelle la série n'aura que trois saisons.
Invité- Invité
Re: The Newsroom: Diffusion HBO
Un final brillantissime pour ma part, qui rend bien hommage à la série et au message qu'elle a voulu faire passer..
Je suis en train d'écrire une critique plus élaborée, je vous la posterai ici
Un peu émue de dire au revoir à cette série, elle va me manquer..
Je suis en train d'écrire une critique plus élaborée, je vous la posterai ici
Un peu émue de dire au revoir à cette série, elle va me manquer..
Re: The Newsroom: Diffusion HBO
Voici ma critique que j'ai écrite pour mon blog
La fin de The Newsroom et la remise en question du journalisme
Le 14 décembre dernier, la chaine HBO diffusait l’épisode final de la série The Newsroom, ‘What kind of day has it been’. Certains peuvent qualifier l’épisode de trop guimauve, pour moi l’épisode final soulève beaucoup de questions et revient en même temps au message que la série tente de nous faire passer depuis le premier épisode.
Dès le départ, cette série m’intriguait. L’univers des media m’a toujours intéressé et en plus, une série produite par la chaîne HBO, on pouvait donc espérer une libre expression totale de la part scénaristes. La série m’intéressait également en ce qui concerne la remise en cause du rôle des média ces dernières années. Internet a selon moi changé la perception de l’information. Tout le monde est constamment connecté, le monde de l’information n’a pour ainsi dire plus de frontières. Le public n’est plus seulement spectateur mais également acteur. Mais The Newsroom proposait, je pense, un ‘retour aux sources’, elle voulait mettre le doigt sur des réels sujets, de façon critique certes, mais elle tentait de revenir à ce que sont supposés faire les journalistes. Tout le long de la série, ce message essaie de se forger petit à petit, mais ce dernier épisode réalise un coup de maître : il nous montre bribe par bribe comment les personnages y sont arrivés, le pourquoi ils ont voulu changer, pourquoi ils ont voulu faire la différence. Comme le dit Mack à Charlie (bourrée en pleine journée en jouant au bowling, why not) : ‘You don’t treat journalism as a career but as a calling’. Ensemble ils pourront parler et traiter des sujets sensibles, importants, sans se préoccuper des audiences ou autre futilité populistes. Les personnages deviennent les gardiens de l’information, la vraie. Celle qui permet aux citoyens de se poser des questions et de ne pas tout prendre pour argent comptant.
Beaucoup de critiques ont été émises suite à la mort de Charlie. Ces critiques ne sont, selon moi, pas fondées, car grâce à cet ultime épisode, on comprend que Charlie est le héros de l’histoire. Aaron Sorkin (le producteur) a tué son Don Quichotte mais bien dans le but d’en faire le gagnant de son combat. C’est lui qui a voulu revoir de fond en comble le ‘News Night’ de Will, c’est lui qui convainc Mackenzie (qui à son tour ira voir Jim) de recommencer à travailler avec ce dernier. En gros, c’est Charlie qui a inconsciemment dirigé l’avenir des personnages : Will et Mack se sont retrouvés, Sloan et Don sont tombés amoureux ainsi que Maggie et Jim. Sans lui, Sloan ne se serait sans doute pas tant battues pour démontrer qu’elle n’était pas qu’une jolie poupée, Don n’aurait jamais refusé cette interview de la jeune étudiante de Princeton, ou encore Maggie ne se serait pas trouvé une vocation de field producer. Tous, ont envie de reprendre le combat de Charlie et les flashbacks sont là pour nous montrer le chemin qu’ils ont parcouru.
Car oui, ce dernier épisode est bien là pour nous montrer l’évolution des personnages et particulièrement Will. Un personnage aux premiers abords arrogant, presque trop caricatural, mais sans doute en conflit avec lui-même, ce qui nous conduit à la superbe scène du début de la série où il s’en prend à une étudiante qui lui demande pourquoi les Etats-Unis est le meilleur pays au monde. Dès le départ on comprend que Charlie représente le père que Will n’a jamais eu, et sa mort était pour moi nécessaire de ce point de vue là afin que Will soit encore plus confronté à cette idée (Ce qui donne droit au bœuf à la guitare sur ‘That’s how I got to Memphis’). De plus, le thème de la paternité est fortement présent depuis l’avant dernier épisode. Tout d’abord lors de l’échange imaginaire entre Will et son père dans sa cellule de prison, qui démontre bien l’importance de son passé sur la personnalité du personnage; puis l’annonce de la grossesse de Mackenzie durant le final. La boucle est bouclée, Will a fait la paix avec son père et est enfin prêt pour cette nouvelle étape de sa vie (contrairement à l’époque du flashback qui précède le premier épisode).
On parle de Will mais la figure paternel de Charlie peut très bien se porter sur tous les autres personnages (qui ne doivent finalement pas passer autant de temps que ça avec leurs proches). Ce sentiment se ressent surtout chez Don et Sloan qui se sentent coupables de la mort de Charlie et s’accusent d’être la cause de sa crise cardiaque. Mais une discussion avec la veuve de Charlie rassure Don au sujet de ses choix, qui pour Charlie étaient les bons.
The Newsroom rouvre également avec ce dernier épisode le débat entre les ‘old’ et ‘new media’. Novak, qui a racheté le groupe ACN, représente cette envie d’utiliser des nouveaux média tels que Instagram, des podscasts et autres nouvelles technologies (Dans l’avant dernier épisode, le remplacent de Neal crée une application qui permet de savoir où se trouvent les célébrités en temps réel). Ce qui crée un conflit avec les principaux protagonistes qui veulent en revenir aux bases du journalisme. Comme l’exprime si bien Will: ‘We’re making the news, not good TV’. Charlie a réussit sa mission et la fin de l’épisode va dans ce sens. Qu’importe les changements dans la vie des personnages : the show must go on.
Finalement, on peut comprendre pourquoi la presse n’a pas toujours été tendre avec cette série (principalement la presse américaine). Dès le départ la série dénonçait le caractère des fois superficiel des media. Un fameux paradoxe en fin de compte. Mais qu’on soit d’accord ou non avec le point de vue de Sorkin, la série invitait à la discussion. Un facteur non-négligeable pour moi en matière de séries. L’importance du journalisme dit responsable, sera un des sujets abordé par la série qui nous reviendra en mémoire. Là-dessus on peut dire que Sorkin a fait du bon boulot.
“Autre chose est d’écrire comme poète, et autre chose comme historien. Le poète peut conter ou chanter les choses, non comme elles furent, mais comme elles devaient être : tandis que l’historien doit les écrire, non comme elles devaient être, mais comme elles furent, sans donner ni reprendre un atome à la vérité.” Comme le voulait Charlie, cette citation tirée de Don Quichotte s’applique parfaitement à The Newsroom. Car le travail d’Aaron Sorkin sur la série n’est pas celui d’un historien, mais bien celui d’un poète.
La fin de The Newsroom et la remise en question du journalisme
Le 14 décembre dernier, la chaine HBO diffusait l’épisode final de la série The Newsroom, ‘What kind of day has it been’. Certains peuvent qualifier l’épisode de trop guimauve, pour moi l’épisode final soulève beaucoup de questions et revient en même temps au message que la série tente de nous faire passer depuis le premier épisode.
Dès le départ, cette série m’intriguait. L’univers des media m’a toujours intéressé et en plus, une série produite par la chaîne HBO, on pouvait donc espérer une libre expression totale de la part scénaristes. La série m’intéressait également en ce qui concerne la remise en cause du rôle des média ces dernières années. Internet a selon moi changé la perception de l’information. Tout le monde est constamment connecté, le monde de l’information n’a pour ainsi dire plus de frontières. Le public n’est plus seulement spectateur mais également acteur. Mais The Newsroom proposait, je pense, un ‘retour aux sources’, elle voulait mettre le doigt sur des réels sujets, de façon critique certes, mais elle tentait de revenir à ce que sont supposés faire les journalistes. Tout le long de la série, ce message essaie de se forger petit à petit, mais ce dernier épisode réalise un coup de maître : il nous montre bribe par bribe comment les personnages y sont arrivés, le pourquoi ils ont voulu changer, pourquoi ils ont voulu faire la différence. Comme le dit Mack à Charlie (bourrée en pleine journée en jouant au bowling, why not) : ‘You don’t treat journalism as a career but as a calling’. Ensemble ils pourront parler et traiter des sujets sensibles, importants, sans se préoccuper des audiences ou autre futilité populistes. Les personnages deviennent les gardiens de l’information, la vraie. Celle qui permet aux citoyens de se poser des questions et de ne pas tout prendre pour argent comptant.
Beaucoup de critiques ont été émises suite à la mort de Charlie. Ces critiques ne sont, selon moi, pas fondées, car grâce à cet ultime épisode, on comprend que Charlie est le héros de l’histoire. Aaron Sorkin (le producteur) a tué son Don Quichotte mais bien dans le but d’en faire le gagnant de son combat. C’est lui qui a voulu revoir de fond en comble le ‘News Night’ de Will, c’est lui qui convainc Mackenzie (qui à son tour ira voir Jim) de recommencer à travailler avec ce dernier. En gros, c’est Charlie qui a inconsciemment dirigé l’avenir des personnages : Will et Mack se sont retrouvés, Sloan et Don sont tombés amoureux ainsi que Maggie et Jim. Sans lui, Sloan ne se serait sans doute pas tant battues pour démontrer qu’elle n’était pas qu’une jolie poupée, Don n’aurait jamais refusé cette interview de la jeune étudiante de Princeton, ou encore Maggie ne se serait pas trouvé une vocation de field producer. Tous, ont envie de reprendre le combat de Charlie et les flashbacks sont là pour nous montrer le chemin qu’ils ont parcouru.
Car oui, ce dernier épisode est bien là pour nous montrer l’évolution des personnages et particulièrement Will. Un personnage aux premiers abords arrogant, presque trop caricatural, mais sans doute en conflit avec lui-même, ce qui nous conduit à la superbe scène du début de la série où il s’en prend à une étudiante qui lui demande pourquoi les Etats-Unis est le meilleur pays au monde. Dès le départ on comprend que Charlie représente le père que Will n’a jamais eu, et sa mort était pour moi nécessaire de ce point de vue là afin que Will soit encore plus confronté à cette idée (Ce qui donne droit au bœuf à la guitare sur ‘That’s how I got to Memphis’). De plus, le thème de la paternité est fortement présent depuis l’avant dernier épisode. Tout d’abord lors de l’échange imaginaire entre Will et son père dans sa cellule de prison, qui démontre bien l’importance de son passé sur la personnalité du personnage; puis l’annonce de la grossesse de Mackenzie durant le final. La boucle est bouclée, Will a fait la paix avec son père et est enfin prêt pour cette nouvelle étape de sa vie (contrairement à l’époque du flashback qui précède le premier épisode).
On parle de Will mais la figure paternel de Charlie peut très bien se porter sur tous les autres personnages (qui ne doivent finalement pas passer autant de temps que ça avec leurs proches). Ce sentiment se ressent surtout chez Don et Sloan qui se sentent coupables de la mort de Charlie et s’accusent d’être la cause de sa crise cardiaque. Mais une discussion avec la veuve de Charlie rassure Don au sujet de ses choix, qui pour Charlie étaient les bons.
The Newsroom rouvre également avec ce dernier épisode le débat entre les ‘old’ et ‘new media’. Novak, qui a racheté le groupe ACN, représente cette envie d’utiliser des nouveaux média tels que Instagram, des podscasts et autres nouvelles technologies (Dans l’avant dernier épisode, le remplacent de Neal crée une application qui permet de savoir où se trouvent les célébrités en temps réel). Ce qui crée un conflit avec les principaux protagonistes qui veulent en revenir aux bases du journalisme. Comme l’exprime si bien Will: ‘We’re making the news, not good TV’. Charlie a réussit sa mission et la fin de l’épisode va dans ce sens. Qu’importe les changements dans la vie des personnages : the show must go on.
Finalement, on peut comprendre pourquoi la presse n’a pas toujours été tendre avec cette série (principalement la presse américaine). Dès le départ la série dénonçait le caractère des fois superficiel des media. Un fameux paradoxe en fin de compte. Mais qu’on soit d’accord ou non avec le point de vue de Sorkin, la série invitait à la discussion. Un facteur non-négligeable pour moi en matière de séries. L’importance du journalisme dit responsable, sera un des sujets abordé par la série qui nous reviendra en mémoire. Là-dessus on peut dire que Sorkin a fait du bon boulot.
“Autre chose est d’écrire comme poète, et autre chose comme historien. Le poète peut conter ou chanter les choses, non comme elles furent, mais comme elles devaient être : tandis que l’historien doit les écrire, non comme elles devaient être, mais comme elles furent, sans donner ni reprendre un atome à la vérité.” Comme le voulait Charlie, cette citation tirée de Don Quichotte s’applique parfaitement à The Newsroom. Car le travail d’Aaron Sorkin sur la série n’est pas celui d’un historien, mais bien celui d’un poète.
Re: The Newsroom: Diffusion HBO
Moonflower quel bel article. J'ai pris plaisir à le lire, tellement bien argumenté
Oui on comprend mieux la mort de Charlie, le changement qu'il a apporté à tous, sans lui ils n'auraient pas été ce qu'ils sont devenus, un bel hommage pour ce mentor, ce père comme tu l'a soulignée dans ton article.
Les scènes de flash-back, les choix et promotions professionnelles de chacune, même leur vie privée à eu un impact.
Belle fin, douce, un mélange d'optimisme et de pessimiste, d'espoir, de vérité qui en dérangera certains, mener par main de maitre par Aaron Sorkin, il sait toujours y faire, pas la 1ère fois ni la dernière fois qui fera parler de lui.
Dans quelque années je me regarderais l'intégrale de la série avec le même enthousiasme.
Oui on comprend mieux la mort de Charlie, le changement qu'il a apporté à tous, sans lui ils n'auraient pas été ce qu'ils sont devenus, un bel hommage pour ce mentor, ce père comme tu l'a soulignée dans ton article.
Les scènes de flash-back, les choix et promotions professionnelles de chacune, même leur vie privée à eu un impact.
Belle fin, douce, un mélange d'optimisme et de pessimiste, d'espoir, de vérité qui en dérangera certains, mener par main de maitre par Aaron Sorkin, il sait toujours y faire, pas la 1ère fois ni la dernière fois qui fera parler de lui.
Dans quelque années je me regarderais l'intégrale de la série avec le même enthousiasme.
Invité- Invité
Re: The Newsroom: Diffusion HBO
Merci Coleen, je suis contente qu’il t’ait plu!
Oui, le final nous donne envie de revoir le premier épisode afin de regarder la série encore une fois sous un autre angle.
Coup de génie pour ma part !
Qui plus est, bel exemple d’une fin de série où il ne doit pas forcément se passer des choses abracadabrantes ou explosives pour qu’il fasse effet. Tout est subtil, entre les lignes, j’adore ça !
Oui, le final nous donne envie de revoir le premier épisode afin de regarder la série encore une fois sous un autre angle.
Coup de génie pour ma part !
Qui plus est, bel exemple d’une fin de série où il ne doit pas forcément se passer des choses abracadabrantes ou explosives pour qu’il fasse effet. Tout est subtil, entre les lignes, j’adore ça !
Re: The Newsroom: Diffusion HBO
J'avais oublié de venir en parler mais il y a deux ou trois semaines, j'ai regardé la dernière saison en marathon. Je ne l'avais toujours pas vue et j'ai adoré !! Comme vous dites, c'est une très belle fin tout en subtilité.
Et la chanson dans le garage dans le dernier épisode, je suis vraiment fan ! Je ne peux m'empêcher de la ré-écouter de temps en temps ! Quel beau moment !!
Et la chanson dans le garage dans le dernier épisode, je suis vraiment fan ! Je ne peux m'empêcher de la ré-écouter de temps en temps ! Quel beau moment !!
Sheila Miller Muhney- Messages : 1371
Date d'inscription : 30/12/2013
Age : 33
Re: The Newsroom: Diffusion HBO
Ravie que ça t'ai plu, Sheila!
Et oui, la fin était vraiment bien, comme toute la série d'ailleurs!
Espérons qu'HBO nous sorte une autre série intélligente de la sorte..
J'ai vraiment été très heureuse de cette fin, étant donné les déceptions concernant certaines séries que j'adorais pourtant au début!
Et oui, la fin était vraiment bien, comme toute la série d'ailleurs!
Espérons qu'HBO nous sorte une autre série intélligente de la sorte..
J'ai vraiment été très heureuse de cette fin, étant donné les déceptions concernant certaines séries que j'adorais pourtant au début!
Re: The Newsroom: Diffusion HBO
Je me doutais que la fin allait me plaire. Sorkin a l'air de vraiment réfléchir à ce qu'il fait. La preuve, il s'est privé d'un épisode l'an dernier pour le bien de l'intrigue, peu de gens feraient ça... Jamais il n'y a eu de sentiment de remplissage dans The Newsroom et le final le montre bien. L'évolution des personnages et en même temps leur stabilité car au fond, ils restent les mêmes, toujours fidèles à leurs principes et à leur éthique et traiter de l'actualité de la sorte (même si ça peut faire polémique) est quelque chose que j'aime tout particulièrement !
Sheila Miller Muhney- Messages : 1371
Date d'inscription : 30/12/2013
Age : 33
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